ILLIMANI - Abri photovoltaïque

L'entreprise Cesam Metal SA, localisée à Develier dans le Jura, souhaite s'ouvrir au marché émergeant des clean tech en fabriquant des abris solaires. Au vu des avancées technologiques dans le domaine du transport et du stockage d'énergie et grâce à des impulsions politiques pour un développement durable, les véhicules électriques sont à l'aube d'une importante évolution. TA-SWISS[1], a démontré dans son étude « Chancen und Risiken der Elektromobilität 2013 » qu'entre 50 et 80 [%] du parc véhicule sera électriques d'ici à l'horizon 2050.

 Ces véhicules s'alimenteront à une installation individuelle, ou sur des bornes à dispositions lors de plus longs trajets. Le projet ILLIMANI, est un abri photovoltaïque qui lie l'utile à l'agréable. Un ouvrage qui joue plusieurs rôles; abris pour le véhicule, station de recharge, autoconsommation et messages publicitaires ou communications diverses. ILLIMANI est équipé de, panneaux solaires, bornes de rechargement, régulateurs de charge de batterie, onduleur et raccordement au réseau électrique. La présente étude a pour but d'optimiser tout le système et, au moyen de simulations, proposer les meilleures variantes. La comparaison se fait par rapport à la variante proposée par Cesam Metal SA et est faite par le biais de la méthodologie SWOT[2]. L'analyse de risque permet de donner les solutions relatives aux points de vigilances identifiés lors de l'analyse SWOT. La simulation d'installations travaillant en ilotage donne la distance limite à partir de laquelle une exploitation solaire indépendante du réseau devient intéressante.

[1] TA-SWISS : Centre d'évaluation des choix technologiques, étude basée sur une approche industrielle, technologique, sociale et politique de la mobilité.

[2] SWOT : méthodologie d'analyse, Strengths Weaknesses Opportunities Threats

Etudiant: Rui Alexandre Sabala Rodrigues

Année: 2016

Département: TIN

Filière: Génie électrique avec orientation en Systèmes énergétiques

Partenaire externe: CESAM

Enseignant responsable: Jean-François Affolter

Institut: IESE

Ce travail est confidentiel